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Mais au-delà, "ce qui pose problème, c'est le statut". "On ne sait pas si Valérie Trierweiler s'exprime comme compagne du président de la République, s'exprime comme militante socialiste ou s'exprime comme journaliste engagée". "Si demain, on a la même confusion [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] sur un sujet majeur pour la France, pour l'image de la France dans le monde, il se passe quoi ?" "Il faut de cette espèce d'ambigu?té que je trouve un peu malsaine", a jugé la candidate aux législatives dans l'Essonne.
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De son c?té, la vice-présidente du , , a estimé mercredi que le tweet de Valérie Trierweiler? faisait "désordre" et ne tombait "pas au meilleur moment", alors que se profilent localement des rapprochements UMP-FN.
Visiblement agacée par les questions sur le sujet, la première secrétaire du PS, , a qualifié mercredi d'"écume" l'affaire du tweet de Valérie Trierweiler, assurant des sujets "qui sont la priorité des Fran?ais".
CLARIFIER LE STATUT DE TRIERWEILER
"Le plus navrant dans cette histoire, c'est qu'on n'a pas envie de se la question, à trois jours d'un scrutin qui engage le destin de la France : est-ce que Fran?ois Hollande peut gérer son couple ?" "La vraie question, c'est : est-ce que Fran?ois Hollande peut gérer la crise ?", a insisté Mme Pécresse.
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, a déploré sur Canal+ le président (PS) du conseil général de Seine-Saint-Denis, Claude Bartolone. "Il y a près de 500 candidats de gauche à ce second tour", "tout ce qui nous fait de la trace de la campagne électorale, c'est bon pour l'abstention et c'est bon pour l'opposition".?"Un tweet ?a va, deux tweets, bonjour les dég?ts", a tranché le député.?"Même au sein du , on ne s'aime pas tous", a observé l'ancien ministre, mais "il y a des moments où il faut ses passions".
Après , le député UMP Eric Ciotti a qualifié mercredi de "ridicule" et "ubuesque" cette situation qui, selon lui, "affaiblit la [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] fonction de chef de l'Etat". Sur France Inter, le président du conseil général des Alpes-Maritimes a jugé que le nouveau , qui se voulait "normal – c'était sa marque de fabrique –, finalement se caractérise assez bien par le ridicule".
Plus offensive, l'ex-ministre UMP Valérie Pécresse a dénoncé [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] "une privatisation de la République". Interrogée par LCI, [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] la candidate aux législatives dans les Yvelines a commenté : "C'est tout simplement affligeant. On a le sentiment d'une privatisation de la République, d'une absolue confusion des genres".
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Dans le même sens, l'ex-ministre UMP a jugé nécessaire de "la confusion" entourant le statut de Mme Trierweiler. Sur BFMTV et RMC, celle qui fut la porte-parole de campagne de Nicolas Sarkozy a jugé que "le mélange des questions personnelles et des questions politiques, de l'affect et de la , n'est jamais une bonne chose".
a estimé, mercredi 13 juin, que la compagne de devait à "un r?le discret", ajoutant que chacun devait "être à sa [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] place", au lendemain du message d'encouragement de Valérie Trierweiler à l'opposant de Ségolène Royal dans la bataille des législatives à La Rochelle.
A droite, l'ancien ministre UMP [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] a souhaité, mercredi, une loi pour définir le statut de première dame de France. "Parce que le législateur doit se au rythme de la [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] société, il faut une [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] loi organique pour [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie[/url] définir le statut de première dame de France", a déclaré dans un communiqué le candidat aux législatives dans les Hauts-de-Seine. "La le?on à de cette faute" est qu'il est "nécessaire de un statut légal à l'épouse ou époux, en tout cas au conjoint, du président de la République", ajoute M. Ollier.
Comme on lui demandait, sur le plateau de Questions d'info LCP/Le Monde/AFP/, si la première dame devait "apprendre à sur sa réserve", M. Ayrault a répondu : "Oui, je crois." "Je pense que c'est un r?le discret qui doit être le sien, et qui n'est pas facile à . (...) Chacun doit être à sa place", a-t-il ajouté.
"UNE FAUTE"
Plus nuancée, a estimé sur que le tweet envoyé par Mme [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=220683313529&ssPageName=STRK:MESE:IT]louboutin Le directeur de Sci[/url] Trierweiler était "un sentiment privé", et qu'elle n'avait pas "cherché à contredire" le chef de l'Etat. "Cette affaire prend des proportions que je trouve déplacées. C'est un positionnement privé (...) qui n'empêche pas le fait que le Parti socialiste soutienne la candidature de Ségolène [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] Royal", a estimé?la ministre des affaires sociales et de la santé. "J'imagine qu'elle réfléchira à la fa?on dont elle entend s'exprimer" à l', a-t-elle ajouté.
Proche du chef de l'Etat, Fran?ois Rebsamen a estimé, mercredi, que [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] la compagne du président était sortie de son r?le en soutenant le rival dissident de Ségolène Royal, ajoutant qu'elle devait la nécessaire "réserve". "C'était un message personnel qui répond à des considérations personnelles", "il faut qu'elle apprenne la réserve qui doit être la sienne en tant que compagne du président de la République", a ajouté le maire de Dijon sur . "On [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] a aujourd'hui un président de la République qui tient à ce qu'on sépare le [url=http://www.cloacina.org/blog/2012/11/a-rough-history-of-sanitation-in-the-west/comment-page-1/#comment-135909]5 Things To Look For When Appointing A PSD To Html Conversion Service Provider[/url] public du privé, il y a eu trop de mélange des genres sous ", a-t-il encore dit, estimant que M. Hollande n'avait pas à réagir.
Après suscité mardi, le message d'encouragement de Valérie Trierweiler au dissident PS Olivier Falorni est désormais l'objet de critiques dans les rangs du parti de Martine Aubry et à l', mercredi. A quatre jours du second tour des législatives, Mme Royal a dénoncé "personnelles" et "méprisantes" à son encontre, alors qu'à droite, on souhaite une loi pour définir le statut de première dame de France.
"UNE PRIVATISATION DE LA R?PUBLIQUE"