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est mort le 4 [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] février 2013 à Andover, la ville du Hampshire (sud de l'Angleterre) où il était né en 1941. Apprenti ma?on, il fonde les Troglodytes en [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] 1964 avec son ami . L'un s'improvise chanteur, l'autre batteur, tandis que (guitare) [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] et (basse) sont débauchés dans [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] un groupe du coin. Les Troglodytes perdent bient?t leur nom si évocateur (du grec tr?glodutês, "qui entre dans des trous") pour ne qu'une onomatopée d'homme des cavernes, Troggs. Reginald abandonne quant à lui son encombrant nom de baptême et devient Reg Presley, ce qui est nettement plus rock il est vrai.
Comme le au même moment à – mais sans la moindre ambition artistique –, les Troggs se font un de leurs limites techniques. Reg Presley n'est pas un [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] raffiné, mais il est capable à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] l'occasion de mélodies primesautières, comme With A You, et il chante avec une conviction impressionnante les "pa-pa-pa-pa" et "na-na-na-na" qui sont alors le fonds commun de tous les groupes pop. Les quatre albums réalisés par le groupe dans les années 60 (, Trogglodynamite, Cellophane, ), réédités en CD par le label Repertoire, sont inégaux, mais pleins d'heureuses surprises. On n'y trouve rien ou presque du psychédélisme ambiant. Ni sitar ni mellotron, donc, mais des paroles débiles ("Dou-dou-bi-dou, Peppermint too") que la voix de Reg Presley charge de menace ou de lubricité.
Parallèlement, Reg Presley tient des petits r?les dans des téléfilms britanniques et devient quelque peu contemplatif. Il passe de longues nuits à les étoiles, et fait para?t-il de stupéfiantes découvertes au début des années 1990. Pris de passion pour les ovnis et les "crop circles", ces troublantes formes géométriques qui apparaissent parfois dans les champs de la verte Angleterre, il anime alors une émission sur le phénomène à la télé locale, The Reg Presley UFO Show. Le magnum opus de son vieil ?ge sera un [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] livre, intitulé [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] comme de juste Wild Things They Don't Tell Us, qui fera forte impression dans les milieux ufologues par [url=http://www.mgsc-community.de/index.php?site=forum_topic&topic=1]hollister Bouygues Télécom et SFR se serrent la[/url] ses théories mêlant alchimie, et religion.
DERNIER SUCC?S EN 1967
L'inconvénient de cette indifférence à [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la , c'est que le groupe d'Andover sera vite largué. En juin 1967, Jimi Hendrix conclut son concert au festival de Monterey [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] par une [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] version apocalyptique (et sans ocarina) de Wild Thing. Quelque chose a changé. Les Troggs ont un dernier succès cette année-là avec Love Is All Around (un bon exemple des ballades sucrées que Reg Presley commet à ses heures perdues), mais ils passent maintenant pour des ploucs. Ils n'en continueront pas moins à et , avec quelques changements de formation, mais toujours autour de Reg Presley. Malgré un album pataud en 1975 (The Troggs), [url=http://bbs.ly-game.net/home.php?mod=space&uid=27212][/url] le groupe sera l'un des rares anciens à gr?ce aux yeux des punks, notamment les Ramones et les Buzzcocks. Il partagera même l'affiche avec les Damned un soir de 1976 à Londres.
UNE CONVICTION IMPRESSIONNANTE
C'est sous ce nom qu'il écrit le premier single du groupe, , en février 1966. Sur un rythme primitif, sa voix passe d'un détachement mena?ant à des éclats de fureur, avec quelques beaux dérapages de guitare en prime : soit le canevas de la plupart des chansons, souvent excellentes, [url=http://cgi.www5a.biglobe.ne.jp/~busei/cgi-bin/mugen.cgi]barbour uk Ideas On How To De[/url] que les Troggs produiront jusqu'en 1968. Leur single suivant est aussi leur plus grand succès : devient n°2 du classement des ventes britanniques en mai 1966 et n°1 du classement américain en juillet. Démarquage éhonté des trois accords de , cette composition de se voit gratifiée d'un incongru solo d'ocarina – "choix à la fois superbe et imbécile, deux adjectifs qui reviennent souvent à l'esprit quand on parle des [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Troggs", écrit dans le Dictionnaire du rock de (Robert Laffont, "Bouquins").