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L'Amazonie, poumon de la planète, est victime de l'acharnement des tron?onneuses. Elle est menacée parce que ? le marché, dans son aveuglement, cherche à posséder et à anéantir ?, estime Gra?a Costa, responsable de l'Amazonie pour l'ONG brésilienne FASE. La plus grande forêt tropicale
Belem, c'est aussi la capitale du moment pour les peuples indigènes auxquels le FSM entend donner la parole. Dans la seule partie brésilienne de l'Amazonie où - vivent 80 % des Indiens du pays, ils ne sont plus que 600 000 au milieu de 25 millions de personnes. Ils vivent le plus souvent dans de vastes réserves protégées, mais leurs terres sont néanmoins grignotées par l'avancée de fronts agricoles et de colons fuyant souvent la misère. Cette cohabitation provoque des conflits entre fermiers blancs et Indiens cherchant à protéger leur habitat et leur mode de vie traditionnel. La FASE souligne que de puissants groupes privés brésiliens et multinationaux se disputent les ressources de la région en s'appropriant les terres, en détruisant la faune et la flore et en anéantissant les modes de vie des populations indigènes ? au nom du progrès et du - développement ?. Pour l'ONG, préserver l'Amazonie implique d'accepter ? les défis de l'innovation technologique ? afin de [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] proposer un modèle de développement fondé sur l'utilisation durable des [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] ressources naturelles.

de la planète s'étend sur 5,5 millions [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] de km2, dont 60 % au Brésil, et est partagée entre neuf pays sud-américains (Bolivie, - Brésil, Colombie, ?quateur, Guyana, - Pérou, Surinam, Venezuela et Guyane fran?aise).

des tron?onneuses

ses multiples variations actuelles, mais aussi la biodiversité, la gestion des ressources communes, le droit des peuples qui vivent dans la région.

l'acharnement
L'un des objectifs promus par le Forum [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] social mondial est ? d'assurer l'accès universel et soutenable aux bien communs de l'humanité et de la nature ? et de préserver la planète et ses ressources, ? spécialement l'eau, les forêts et les sources renouvelables d'énergie ?. En décidant de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] se réunir à Belem, capitale de l'?tat du Para (nord du Brésil), le FSM ne pouvait choisir meilleur symbole de la lutte planétaire pour la protection de l'immense forêt amazonienne menacée [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] par l'agro-industrie.
La problématique amazonienne a ainsi été posée avec éclat dès hier sous forme
de serre, responsable du réchauffement climatique, et la déforestation [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] représente 75 % de ces émissions...

Mais cette forêt, qui abrite le plus grand réservoir de - biodiversité au monde - un dixième de la faune [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] connue et plus de 40 000 espèces végétales - et joue un r?le essentiel dans l'équilibre climatique de la planète, aurait déjà perdu 17 % de sa surface originelle. Elle est amputée tous les ans de milliers de km2 (12 000 km2 en 2007/2008 au Brésil ; 26 000 km2 en 2003/2004) sous la pression de la puissante agro-industrie (culture intensive du soja, élevage), et de l'exploitation forestière illégale.

Altermondialisme . Le FSM, réuni à Belem, met l'accent sur la lutte planétaire pour une meilleure gestion de l'eau et la protection de l'immense forêt tropicale.
d'un dialogue (? l'Amazonie s'adresse au monde ?, ? le monde s'efforce de répondre à l'Amazonie ?) et concerne non seulement le climat et
Incriminés, les producteurs de soja (dont Blairo Maggi, dans [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] l'?tat du Mato Grosso) et le développement d'une culture prépondérante dans l'économie brésilienne. Pour accro?tre les rendements, les frontières agricoles des ?tats empiètent sans cesse sur les forêts de transition, ces zones de végétation épaisse [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] en bordure de la forêt vierge. Théoriquement ces zones sont protégées par la loi, mais le Code de l'environnement brésilien et le cadastre étant tels qu'ils représentent une manne pour l'action des ? grileiros ?, ceux qui s'accaparent des terres publiques et obtiennent de faux titres de propriété. En février 2006, le gouvernement avait fait adopter une loi sur la gestion des forêts publiques applicable à toutes les régions bioclimatiques et des concessions protégées, payantes, répondant aux exigences d'une [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] exploitation durable. Mais là aussi la corruption est restée le meilleur moyen de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] la mise en action des tron?onneuses. En décembre dernier le gouvernement du président Lula, dans un geste fort, s'est engagé à réduire de 70 % la déforestation d'ici à 2018. Le Brésil est le quatrième principal émetteur de gaz à effet
Bernard Duraud
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