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, qui, pour sa partie "in", s'achève mardi 27 juillet avec les représentations de Richard II, de Shakespeare, d'Un mage en été, d', et de Délire à deux, d'Eugène Ionesco (le "off", lui, continue jusqu'au 31 juillet), a suscité débats et controverses. Comme toujours : cela fait partie de son histoire. Mais quand même un [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] peu plus que de coutume, sans le niveau polémique de 2005.
Ils ont eu d'autant meilleur jeu de le que cette édition n'a pas tenu toutes ses promesses, accumulant, surtout en son début, nombre de déceptions, dont les deux premiers spectacles des deux artistes associés, Christoph Marthaler et Olivier Cadiot, [url=http://www.amy.hi-ho.ne.jp/cgi-bin/user/wakaba/aska.cgi?]Dental]ugg pas cher Rencontre avec d[/url] et ceux de metteurs en scène européens importants, le Cassiers et l' Kriegenburg.
L'annonce du renouvellement du duo avignonnais, pourtant, n'est pas intervenue au début du Festival, comme on l'attendait. Le ministre est sorti fort [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] mécontent de la première de Papperlapapp, le spectacle d'ouverture signé par l'un des deux artistes associés de cette édition, , le 7 juillet. Une première chahutée, qui a commencé par la lecture d'un communiqué au vitriol du Syndeac (le Syndicat national des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] artistiques et culturelles), s'inquiétant des baisses de financement pour la culture, et s'est poursuivie par la prise à partie du ministre par deux éléments incontr?lés.
Une édition moins réussie que d'autres ne doit pas pour autant oublier l'excellent bilan, artistique et public, du tandem avignonnais depuis 2004, lequel a d'ailleurs été souligné par un rapport d'inspection des du ministère de la culture. Même [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] si le choix de l'artiste [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] associé pour 2011, le chorégraphe fran?ais Boris [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Charmatz, fait déjà pas mal de dents.
Il n'en demeure pas moins que cette édition a donné le sentiment d'un manque d'équilibre entre de vraies formes thé?trales, nourrissantes pour l'esprit, et des formes [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] scéniques ou performatives séduisantes mais parfois un peu creuses. C'est la limite d'Hortense Archambault et Vincent Baudriller qui, cette année plus que d'autres - où la présence de metteurs en scène comme ou avait fait le balancier de l'autre c?té -, ont semblé réduire la modernité au travail sur le corps, à la performance, aux formes hybrides et [url=http://www.cklr.com/share/upload/]moncler outlet Rewards Of Employing Venture Manage[/url] non dramatiques.
Alors ? La contestation a deux raisons, qu'il faut bien , même si elles se sont fortement mêlées. D'abord, le deuxième mandat de quatre ans d'Hortense Archambault et Vincent Baudriller se termine en 2011. Le duo a fait au ministère de la , tutelle principale, son désir de sa mission à la tête du Festival, malgré des statuts qui, théoriquement, limitent la durée de celle-ci à deux mandats de quatre ans. Mais les statuts, cela se change, et le ministre, Frédéric Mitterrand, paraissait, au printemps, toute sa confiance à l'équipe en place.
Pourtant, le bilan final est beaucoup plus nuancé. Il y a eu aussi, dès le début du Festival, de grandes réussites, notamment du c?té de la danse, avec le très émouvant Gardenia d' et le sublime En Atendant d' De Keersmaeker. Une découverte fracassante, avec l'élica Liddell, et la confirmation d'un talent hors normes, avec Gisèle Vienne. Et, à du [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] 20 juillet, une série discontinue de beaux spectacles : Richard II, que nous avons aimé (ainsi que de nombreux professionnels), même s'il a fortement divisé la critique et le public ; Schutz vor der Zukunft, chef-d'oeuvre marthalérien d'émotion et de profondeur ; Out of Context, d'Alain Platel encore ; Un mage en été, par le trio Olivier Cadiot - - ...
C'est leur grosse faiblesse : un peu oublié que le travail sur un répertoire toujours à , à revisiter, fait aussi partie de la modernité [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] thé?trale. Et négligé ce que la présence de véritables auteurs, utilisant les moyens du thé?tre, peut d'irrempla?able pour une parole forte sur le monde contemporain. Comme l'a prouvé une autre grande réussite de cet Avignon 2010 : My , signé par l'auteur allemand et le metteur en scène .
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Le déroulement du spectacle lui-même, qui n'était pas prêt pour la première, et très en de?à de ce que peut habituellement ce grand artiste qu'est Christoph Marthaler, n'a pas arrangé les choses. Une partie du public y a manifesté bruyamment son ennui et sa désapprobation, alourdissant encore une [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] atmosphère déjà tendue. A l'issue de la soirée, Frédéric Mitterrand a ajourné sa décision et laissé le champ libre à d'autres candidats potentiels, qui ne se sont pas privés de une [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] édition prétendument [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] catastrophique.