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De même, peu lui importe que l'UMP ait fini par dénicher un entretien à Mediapart dans lequel il jugeait inefficace, il y a un an, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] un tel dispositif fiscal "confiscatoire". Car Fran?ois Hollande a quelque chose de désespérant, pour ses adversaires : rien, jusqu'à présent, ne semble l' ni l'.
Trois semaines plus tard, il n'en est rien. La polémique sur les sondages a fait long feu. Non seulement les courbes d'intention de vote entre M. Sarkozy et M. Hollande ne se sont pas croisées [url=http://www.mvvnet.com/home.php?mod=space&uid=155080][/url] comme voulait le – ou le – l'équipe du président-candidat. Mais l'écart entre les deux hommes semble, à ce jour, incompressible : le candidat socialiste ne décroche guère de la zone des 30 %, le chef de l'Etat plafonne aux alentours de 25 %. Pis, après une courte embellie, le soutien à M. Sarkozy se tasse de nouveau. Quant à ses perspectives de second tour, elles sont toujours aussi calamiteuses.
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De son c?té, le candidat socialiste s'emploie ostensiblement à résister à l'agacement, qui n'est ni dans sa nature ni dans son intérêt. Mais sauf à craintif, il ne peut s' de répliquer. Et quand il l?che ses coups, ce faux mou souriant fait mal. Chaque jour, le réquisitoire contre le président sortant est plus cinglant, comme à Dijon, samedi 3 mars, où il a dénoncé le règne, depuis cinq ans, de "l'omniprésidence", de cette "omnipotence qui conduit à l'impuissance, qui elle-même engendre l'irresponsabilité".
Ils [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] n'ont pas tort. L'empoignade actuelle - et tout autant des controverses baroques et dérisoires comme celle sur la viande [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] halal, amorcée par la candidate du et relancée par M. Sarkozy - éclipse les questions qui devraient être au du débat : comment répondre à la crise économique et sociale qui mine le pays, comment désendetter la France et la croissance, avec quelle vision de l' ?
Enfin, les Fran?ais, eux aussi, s'agacent. Le pugilat engagé entre le chef de l'Etat et son principal adversaire leur dépla?t. Selon un sondage de l'IFOP publié le 4 [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] mars par Le Journal du dimanche, plus de deux sur trois considèrent que la campagne ne se déroule pas dans un serein et respectueux. Derrière ce constat, pointe une réelle frustration : une proportion équivalente (66 % à 68 %) juge que cette campagne n'est pas de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] nature à de l'espoir chez les Fran?ais et qu'elle n'apporte [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=390333318675&ssPageName=STRK:MESE:IT]air jordan pas cher SUEURS FR[/url] pas de réponses à leurs problèmes.
Dès lors, les deux rendez- majeurs du chef de l'Etat cette semaine (l'émission de France 2, mardi soir, et le grand meeting de Villepinte, dimanche) apparaissent désormais comme ceux de la dernière chance pour espérer la vapeur, à six semaines du premier tour.
Ainsi, le président piétine quand il pensait . Quoi qu'il [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] fasse – vigoureuse offensive sur sa droite, attaques en règle contre le candidat socialiste ("menteur", "Tartuffe", etc.) –, il para?t agressif, donc inefficace, tant il fait le personnage excessif et [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] brouillon dont les Fran?ais se sont détournés depuis 2008. Quoi qu'il dise, il est renvoyé à son bilan. Quand, enfin, il fait des propositions, il est vrai cafouilleuses comme sur l'éducation et les enseignants, elles n'impriment pas dans l'esprit public, comme s'il était inaudible.
Il peut s', en direct, sur le seuil de déclenchement de son super-imp?t ("1 million par mois... euh, non, 1 million par an") ; il peut réduire subrepticement de 300 000 à 150 000 le nombre des futurs "emplois d'avenir" ; il peut une réelle confusion sur la manière de 60 000 postes supplémentaires dans l'éducation ; il peut d'attitude sur le cumul des mandats qu'il entend, désormais, strictement ; il peut se à une étonnante valse-hésitation sur le sort de la loi ; il peut se au milieu des contradictions des socialistes à l'égard du nouveau traité européen. Il peut tout cela, sans y de plumes. Mais sans, pour autant, [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] une solide adhésion.
les principaux protagonistes s' dans la joute présidentielle. Depuis trois semaines, c'est chose faite : , , , arpentent les provinces, [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] haranguent leurs partisans, fustigent leurs adversaires, occupent les ondes et les écrans.
Ce peut être la chance des candidats de second rang. Dans les semaines qui nous séparent du 22 avril, les Fran?ais pourraient bien en , chacun à sa manière, les porte-voix de leur exaspération. Quand elle s'agace, comme quand elle s'ennuie, la France devient volontiers imprévisible.
Cela, pourtant, n'a rien changé à l'espèce de frustration qui continue à l'état d'esprit de nos concitoyens. Comme si cette campagne mettait à c?té de la plaque et esquivait l'essentiel. Comme si elle s'épuisait dans le "combat de coqs" dénoncé par M. Bayrou, entre le champion de l' et celui des socialistes. Bref, si elle s'ennuyait hier, aujourd'hui la France s'agace.
Le président de la République s'agace. On le comprend. Depuis qu'il a enfilé sa tenue de combat électoral rien ne s'est passé comme prévu. Son entrée en campagne devait tout . Il allait, assuraient ses partisans, les tables et les pronostics, ses adversaires sous une pluie de propositions audacieuses, s' comme le champion de la réforme contre l'immobilisme, déclencher une dynamique qui lui permettrait de remobiliser son camp et de l'ascendant en vue du premier tour.
Quant à ses contre-attaques, elles sont aussi soudaines que redoutables. La semaine passée, sa proposition de à hauteur de 75 [url=http://dreamragdoll.com/home.php?mod=space&uid=23030][/url] % les revenus supérieurs à 1 million d'euros par an a laissé sans voix, pendant trois jours, toutes les "cellules riposte" du président-candidat ; tant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] elle rencontre le sentiment du peuple - ce peuple [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] dont Nicolas Sarkozy se veut le héraut -, pour lequel cette mesure relève de la plus élémentaire fiscale. Demain, s'il est élu, cette mesure risque de lui aux basques comme le bouclier fiscal a collé aux basques de M. Sarkozy pendant [url=http://www.americatownmovie.com]air jordan pas cher[/url] son quinquennat. Mais peu lui importe, à ce stade : il a repris l'initiative et marqué les esprits.