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Ces bulles se seraient formées dès le forgeage des cuves par une société néerlandaise, Maatschappij (RDM). L'ancien patron de cette société avait exclu cette hypothèse au moment de l'arrêt des réacteurs.
EN EUROPE, LES ENQU?TES DE S?CURIT? N'ONT PAS TOUJOURS CONVAINCU
Electrabel a [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] fait état, début décembre, de conclusions assurant que Tihange 2 et Doel 3 pourraient redémarrer immédiatement. Les équipes de l'électricien, assistées d'experts étrangers, affirment que [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] les normes et les critères internationaux ont été respectés lors de la construction des centrales. Le métal des cuves serait sain et les bulles résulteraient de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] défauts minimes, dus à l'hydrogène.
A propos des réacteurs de nouvelle génération, M. De Roovere insiste : "Chaque pays devrait débattre tout en tenant compte de la question principale : "Quel est le niveau de risque résiduel acceptable pour la population ?" Je suppose que la discussion a eu lieu en France lorsqu'on a décidé de un réacteur EPR", relève le patron de l'AFCN.
"Ma réflexion est la conséquence de la catastrophe de Fukushima, a expliqué M. De Roovere dans une autre interview publiée jeudi par le quotidien belge Le Soir. En matière nucléaire, [url=http://machipara.k2.xrea.com/cgi-bin/07/epad.cgi]hollister outlet sale Barack [/url] le risque est très faible, mais les conséquences d'un accident peuvent être extrêmement graves."

Toute industrie comporte une part de risques, ajoutait-il, mais il est "très difficile dans la période actuelle" de par la celui qui est lié à la filière nucléaire. Surtout sur un territoire aussi densément peuplé que la , où une évacuation pourrait des centaines de milliers de personnes.
"En toute honnêteté, si je considère ce risque, je choisirai d'autres formes d'énergie", ajoutait M. De Roovere [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] dans cet entretien, évoquant cependant les risques économiques liés à une telle décision.
La décision finale de l'AFCN, prélude à celle que devra le gouvernement belge, sera en tout cas suivie avec intérêt à l'étranger. Parce que RDM a vendu une vingtaine de cuves semblables dans le monde. Et parce que, dans la foulée de Fukushima, une vive inquiétude s'est fait jour quant à [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la sécurité des installations dans l'ensemble de l'Europe. Les enquêtes lancées, à cet égard, par la Commission européenne se sont voulues rassurantes mais n'ont pas convaincu toutes les parties.
M. De Roovere tient quand même un propos rassurant sur la surveillance des installations belges. S'il pense que les contr?les ne permettront jamais d' une défaillance, "on peut s' qu'une défaillance ne mène pas à une catastrophe", indique-t-il. Et, jusqu'à présent, aucun défaut constaté dans le parc du [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] pays n'a fait un risque à la population, assure-t-il.
L'AFCN devra décider, probablement dans une vingtaine de jours, si elle autorise ou non leur redémarrage. C'est le successeur de M. De Roovere, , un autre ancien directeur de Doel [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] reconverti dans la sécurité nucléaire, qui devra cette réflexion. Cet été, l'AFCN s'était déclarée "sceptique" quant à une possible relance de Doel 3.
Le Forum nucléaire, un lobby belge, juge, en revanche, que les tests de résistance "ont prouvé que les centrales en Europe, et particulièrement en Belgique, sont s?res". Il estime dès lors "incompréhensible" la prise de position de M. De Roovere.
Après divers revirements, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] les autorités belges ont adopté il y a quelques mois un calendrier de sortie du nucléaire. Il prévoit un arrêt définitif de cinq réacteurs en 2025, Doel 1 et 2 devant dès 2015. Une décision prise, toutefois, sans que des tests de fiabilité [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] soient menés, ce qui laisse la [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] porte ouverte à d'autres changements.
A moins qu'une rupture d'approvisionnement – hypothèse évoquée pour 2014 par un rapport officiel publié en mai – ne vienne la donne.
Directeur de l'Agence fédérale de contr?le du secteur (AFCN) jusqu'à la fin de l'année, le Belge Willy De [url=http://www.zysgtzyjhhgqfj.gov.cn/E_GuestBook.asp]nike air j[/url] Roovere a créé la sensation dans son pays en mettant en cause la sécurité de cette . "Nous devons nous si le risque nucléaire est encore acceptable", a expliqué, lundi 24 décembre, sur une radio publique néerlandophone ce responsable qui dirigea par ailleurs la centrale de Doel, l'un de deux sites atomiques belges.
"IL FAUT LES CENTRALES EXISTANTES DE TR?S PR?S"
Le directeur de l'AFCN – encore pour quelques jours – juge dès lors qu'il convient, en Belgique comme en , d'éviter de de nouvelles centrales. Quant aux unités existantes, "il faut les de très près", déclare-t-il.
Les affirmations du numéro un de l'agence ont [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]louboutin pas cher Amazonie o[/url] jeté un froid, alors que deux réacteurs belges, Tihange 2 et Doel 3, sont à l'arrêt depuis ao?t. Leurs cuves présentent des défauts, de nombreuses microfissures sur lesquelles se sont penchés divers experts. Exploités par Electrabel, filiale de GDF Suez, ces réacteurs sont les plus [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] modernes des sept unités du parc belge et [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] fournissent quelque 30 % de la électrique du pays.