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Isolés, les socialistes francophones pourraient être exclus d'une alliance regroupant chrétiens-démocrates et libéraux de Flandre et de Wallonie, et les socialistes néerlandophones. Une coalition ? asymétrique ? qui devra toutefois composer avec l'exigence de parité linguistique au gouvernement. Ce [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] scénario pourrait être contredit si le PS obtient un score plus élevé qu'annoncé en Wallonie, auquel cas il pourrait devenir le premier parti du pays et peut-être même prétendre, sans réelle chance de succès, à la direction du gouvernement... Figure de la famille socialiste, Elio Di Rupo est devenu plus largement une sorte de porte-étendard des francophones qui refusent les prétentions hégémoniques d'un Leterme. C'est lui qui a porté la contradiction aux leaders des partis flamands dans les débats télévisés virulents organisés ces derniers jours, lui aussi qui, le dernier parmi les leaders des ? grands ? partis, dit prendre en compte les aspirations sociales de la population, particulièrement sur le dossier de la santé. Revers de la [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] médaille, Di Rupo est très impopulaire auprès des néerlandophones, et souffre de l'image ? affairiste ? du PS. En Wallonie même, beaucoup d'électeurs de gauche devraient d'ailleurs préférer soutenir ?colo, la formation verte qui a fait de ? la promotion de la justice et de la sécurité sociale [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] ? l'un de ses axes principaux de campagne. Le Parti communiste belge présentera lui aussi des candidats, mais ses chances d'obtenir des élus restent faibles.
Paul Falzon
Leader du parti chrétien-démocrate flamand CD & V, [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] Yves Leterme est donné favori pour prendre la tête du gouvernement fédéral malgré son image détestable en Wallonie. Leterme a fait campagne sur une demande de pouvoirs économiques et culturels accrus pour les régions, au détriment de l'?tat fédéral - un point qui ne le différencie pas beaucoup des autres partis flamands, qui ont tous fait de la réforme institutionnelle leur revendication première. Sa popularité au Nord lui vient surtout du ton très violent qu'il n'hésite pas à employer à l'égard de la communauté francophone, accusée notamment de ne pas faire autant d'efforts, que les Flamands au plan linguistique. Le leader du CDH a même menacé, un temps, de composer un gouvernement 100 % néerlandophone s'il était élu, avant de mettre de l'eau dans son vin pour les dernières semaines de campagne.
Législatives . ? l'issue d'une campagne morne où les rivalités ont éclipsé les programmes, les partis flamands devraient s'unir pour obtenir un nouvel affaiblissement de l'?tat fédéral.
Alors que les Fran?ais se rendront aux urnes dimanche pour le premier tour des législatives, les citoyens belges seront eux aussi sollicités pour renouveler leur Parlement fédéral. Le scrutin se déroule dans un climat assez particulier, à l'issue d'une campagne en deux phases : d'abord un certain désintérêt de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] l'opinion publique, à la limite plus curieuse de l'issue du duel présidentiel fran?ais que du scrutin national, puis de violentes polémiques entre responsables politiques, qui ont éclipsé le débat d'idées et polarisé les élections autour des figures fortes de chaque camp. Le politologue Vincent de Coorebyter relevait hier dans la Libre Belgique cette ? coexistence de cette virulence dans la campagne et d'une convergence, tout à fait inédite, des programmes ?, surtout c?té flamand. Avec, à la clé, une grande incertitude sur les formations politiques qui seront amenées à former le nouveau gouvernement, à la [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] différence des dernières élections de 2003.

deux rrincipales familles politiques

LE SCénARIO PLAUSIBLE

Toujours c?té flamand, le premier ministre sortant, Guy Verhofstadt, devrait cette fois être écarté de la course en raison de l'écroulement de son [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] parti libéral VLD. Seul le leader du SP-A pourrait disputer la tête du gouvernement à Leterme : Johan Vande Lanotte est prêt, pour cela, à sacrifier ses ? cousins ? socialistes francophones. Il est vrai que ces derniers ont fortement irrité ces derniers jours l'ensemble des néerlandophones, d'abord en demandant la rupture avec les ex-alliés libéraux, puis avec le énième scandale politico-financier révélé à Charleroi. ? Nous appartenons à la même famille politique mais cela ne signifie pas que nous soyons liés pour l'éternité. J'ai dit à Elio Di Rupo (le leader du PS) que nous voulons réaliser une réforme de l'?tat. Si je dois croire tout ce que j'entends, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] le VLD et le SP-A ne pourraient plus siéger ensemble dans un gouvernement. Ce n'est pas aux francophones à décider ?, a ainsi menacé Vande Lanotte.
Il y a quatre ans, deux familles politiques s'étaient nettement détachées au niveau national : les libéraux et les socialistes, unis dans une majorité dite ? violette ?, tandis que les chrétiens-démocrates s'écroulaient et que l'extrême droite (Vlaams Belang) restait exclue des discussions. Le jeu des coalitions est donc plus flou [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] cette année, d'autant que l'équation politique devrait varier entre le Nord néerlandophone, et le Sud francophone. En Flandre, le sondage le plus récent, publié lundi par le journal le Soir, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] donne le parti chrétien-démocrate CD & V grand gagnant, [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] avec près de 30 % des voix, tandis que les deux partenaires de la coalition sortante, les socialistes du SP-A et les libéraux du VLD chutent à respectivement 19,7 % et 17,3 %. Le Vlaams Belang resterait à un niveau élevé, 21,6 % des voix. En Wallonie, le PS resterait en tête à 31,4 % mais, paradoxalement, ce score serait un désaveu, la formation socialiste ayant récolté 36,3 % des voix en 2003. Les libéraux du MR limiteraient les dég?ts à 26,5 %, tandis que [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] les chrétiens-démocrates du CDH enregistreraient une légère remontée à 19,3 %. Le Front national, clone de son modèle fran?ais, progresserait fortement à 8,1 %. Les partis écologistes, nettement marqués à gauche en Belgique, passeraient à 7,4 % en Flandre (Groen !) et à 9,7 % en Wallonie (?colo). Une nette remontée après leur effondrement brutal en 2003.
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