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La fuite en avant, la "radicalisation", [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] le repli sectaire dans l'idéologie, n'augurent pas [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] la pérennité du chavisme sans Chavez, mais [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] sa dislocation.
Les opposants sont parvenus entre-temps à l'écart, passant de 2,6 millions de voix en 1998 à 7,3 millions en [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] 2013. A peine 270 000 votes séparent M. Maduro de son , M. Capriles.
D?MOCRATIE PL?BISCITAIRE
La redistribution du revenu national, la lutte contre la pauvreté, les programmes sociaux ciblés, sont [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] aujourd'hui l'apanage de pratiquement tous les gouvernements de la région. Mais ils s'accompagnent du respect des grands équilibres, le cadet des soucis de la "révolution bolivarienne".
Le soir du scrutin, il avait accepté le recomptage des voix demandé par M. Capriles. Le lendemain, l'autorité électorale a refusé, pour enfin, jeudi 18 avril, sous la pression diplomatique des pays voisins, réunis au même moment à Lima.
Enfin, le discours belliqueux à l'égard des opposants n'a rien arrangé : "?a suffit de des gens qui sont aussi nos cousins, époux, frères, amis", écrit le chaviste Mu?oz.
Pour l'interdiction des manifestations, il a même repris à son compte un slogan cubain : "La rue appartient aux révolutionnaires." De son c?té, M. Cabello interdisait aux députés de l'opposition de s' dans [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] l'Assemblée nationale.
Elle s'explique encore [url=http://www.fmajs.com/home.php?mod=space&uid=6125][/url] par la personnalisation à outrance autour de Chavez, dont le charisme et le capital électoral ne sont pas transférables. Le président de l'Assemblée nationale, le lieutenant de réserve , a été le premier à la sonnette d'alarme : "Ces résultats nous obligent à une profonde autocritique."
?Analyse
Les Vénézuéliens ne supportent plus de dans une nation coupée en deux. De part et d'autre, l'aspiration à l'apaisement gagne du terrain. Et l'insécurité croissante a accentué le rejet des violences.
ASSURER LA STABILIT? DU PAYS
Le chavisme aurait également tout intérêt à sur le dialogue, pour la stabilité du pays et la participation de ses partisans au . Hélas, M. Maduro a préféré les opposants de provoquer une "guerre civile comme en ou en ".
M. Maduro semble n'écouter que ses amis de La Havane, qui n'ont jamais su langue avec leurs opposants, beaucoup moins nombreux. Sa gestion postélectorale n'a guère contribué à la sérénité des esprits.

L'appel à une réconciliation nationale n'est donc pas une astuce tactique de la part de M. Capriles, mais du simple réalisme. Pour l'opposition, une élection présidentielle ne réglerait rien, alors que la , le Parlement, les publiques et les Etats vénézuéliens sont presque tous entre les mains de chavistes. Les opposants n'ont pas de plan B : ils savent qu'ils devront négocier et avec leurs adversaires.
L'ancien président brésilien, qui a soutenu [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] sa candidature, enjoignait le chavisme à le dialogue avec l'opposition.
La crise postélectorale révèle une démocratie amoindrie par un autoritarisme rampant. Rétablir l'Etat de droit et la séparation [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] des pouvoirs, dignité et efficacité aux institutions, suppose un sursaut républicain, au-delà des différences idéologiques.
Le mélange de populisme médiatique, de démocratie plébiscitaire et de césarisme légué par Chavez est désormais miné par les contraintes économiques. Malgré la manne de pétrodollars, le Venezuela est devenu la lanterne rouge de l'Amérique latine, le seul pays en récession.
Fragilisé par sa faible performance électorale, l'héritier de Chavez pourrait méditer le message de condoléances envoyé par Lula da Silva à l'occasion des funérailles de son mentor.
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Au , le score du candidat présidentiel de l'opposition, Henrique Capriles Radonski, le 14 avril, était une gageure face à la machine électorale mise au point par le lieutenant-colonel , et placée au service de son successeur désigné, .
Pendant quatorze ans, l'ancien président avait élargi son électorat, passé de 3,6 millions de voix en 1998 à 8,2 millions en 2012. Nicolas Maduro [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] enregistre le premier recul chaviste à une présidentielle, réunissant 7,57 millions de suffrages.
Or le nouveau président a le temps compté pour réussir. A mi-mandat, dans trois ans, il est passible d'un référendum révocatoire, prévu par la Constitution.
L'érosion chaviste peut être attribuée en partie à l'usure [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] du . La décrue répond aussi aux problèmes qui affligent les Vénézuéliens [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] : pénuries d'énergie et de denrées alimentaires, insécurité et inflation record.
L'avertissement s'adresse à son rival, le candidat Maduro, dont la campagne a multiplié les dérapages et a trop misé sur l'invocation du président disparu, poussée jusqu'au mysticisme.
En dépit des discours souverainistes de Chavez, le pays n'a jamais été [url=http://www.lake-s.com/spring/bbs/spring.cgi]hollister france Le tour du m[/url] aussi dépendant du . La [url=http://park16.wakwak.com/~sakura2nd/cgi-bin/yybbs.cgi%3Fpage%3D60]barbour uk outlet Multi Level[/url] relance économique implique un changement d'orientation. La transparence appara?t également comme la condition pour réduire la corruption, qui atteint des sommets, selon l'organisation non gouvernementale Transparency .
Ensuite, le uni du Venezuela (PSUV) a reproduit le clientélisme [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] et le "comportement nauséabond" des anciens partis traditionnels.
Le site chaviste d'information Aporrea détaille les raisons d'une victoire à l'arraché, "avec une désagréable et authentique saveur de défaite". D'abord, figure la profusion de profiteurs et de corrompus dans les rangs de l'administration.