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Lollipop Chainsaw pêche surtout dans sa mécanique de jeu. Contrairement à une référence du genre, comme , qui venait compenser le c?té linéaire du jeu en offrant un complexe, nécessitant beaucoup de technique, le nouveau jeu de Grasshopper multiplie les situations convenues et balisées. Qu'il s'agisse des sauts, de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] l'ouverture d'un nouveau chemin ou de monter sur des objets, l'action échappe souvent au joueur, qui doit se contenter de se placer face à un objet et d'appuyer sur un bouton. Seules quelques phases de jeux, [url=http://bbs.himedia-tw.com/home.php?mod=space&uid=93680][/url] comme une séquence de basket avec des têtes de zombies ou de baseball munie d'un tron?o-gun, introduisent une variété bienvenue dans ce tron?onnage à la cha?ne.
De plus, la présence d'obstacles permettant de baliser les niveaux rend l'action très linéaire et nous donne parfois l'impression de foncer tête baissée dans les couloirs, en déclenchant ?a et là des fatalities qui nécessitent peu d'action. Parfois, le joueur ne sait plus s'il est performeur ou spectateur de Lollipop Chainsaw.
Dans Lollipop Chainsaw, Juliet, pom pom girl de 18 ans, tente de sauver son lycée, San Romero, et son petit ami, Nick -du moins, ce qu'il en reste- mordu par un zombie. Avec son uniforme et son arme de gros calibre, l'héro?ne a parfois des airs de Machine Girl (Noboru Iguchi) ou de Buffy contre [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] les Vampires. La nouvelle création de Suda51, inspirateur de nombreux titres-phares mêlant action et expérimentations ludiques, comme Killer7 ou No more Heroes, laissait augurer du meilleur. Mais promettant un univers décalé, une surenchère dans la violence scénarisée et un détournement des clichés de la bimbo, le nouveau beat'em all de Grasshopper Manufacture, disponible sur XBox et Playstation 3, n'est finalement qu'un jeu bien peu subversif.
Les mouvements de Juliet (saute-mouton par dessus les zombies, pole dance muni d'une tron?onneuse) et les différents combos proposés par le jeu semblaient nous promettre des chorégraphies fluides alternant figures de cheerleading et gerbes de sang. Malheureusement, malgré le statut de pom pom girl de l'héro?ne, [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] les quick time events et la jouabilité [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] [url=http://discussions.allabouttheworld.com/discussion/45591/mulberry-outlet-tennis-et-politique-ce-qui-se-joue-en-fond-de-court]mulberry outlet Tennis et politique, ce qui se joue en fond de court[/url] rendent la performance plus saccadée que jouissive. On attendait du personnage plus de rapidité et de fluidité.
Crédits : Warner interactive.
Servi par une bande son entra?nante, le titre assume son second degré, cultivant son esthétique à mi-chemin entre comics américain, arc en ciel et paillettes, m?tinées de pesantes réflexions grivoises et d'un regard bien trop insistant sur la culotte de l'héro?ne. L'humour du jeu est également porté par le duo comique, composé par l'héro?ne et la tête de Nick qui lui donne la réplique. Une vieille recette déjà utilisée dans le précédent opus auquel Suda 51 [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] avait déjà participé, Shadows of the [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] Damned. Les personnages secondaires hirsutes, psychopathes ou simples lycéens, sont toutefois bien en [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de?à des ambitions ironique affichées par les concepteurs.
Laurent [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] Checola et Marion Coville
TRON?ONNAGE ? LA CHA?NE
Au final, le titre manque cruellement de challenge, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] n'offrant au joueur que le sauvetage de lycéens en détresse, la [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] récolte de médailles pour acheter de nouveaux combos et des affrontements avec des boss loufoques, que le mode de combat, redondant, [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi]nike air jordan pas cher 0% A[/url] ne met malheureusement pas en valeur. En l'enfermant dans un univers [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister uk[/url] dont on se détache peu, Suda51 donne finalement peu de relief à son héro?ne. Seuls les graphismes, laissant parfois croire à une invasion de viennent apporter une dose de folie qui se retrouve trop peu dans le reste du jeu.
S'il parvient parfois à arracher un sourire au joueur, le titre échoue toutefois sur l'essentiel : le détournement du jeu d'horreur. Durant environ six heures, le titre encha?ne les séquences de jeux répétitives, bien loin des morceaux de bravoure burlesques de , ou même [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] de .