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Pour les infrastructures, le panel a estimé que les investissements transfrontaliers doivent être la norme. C'est évident pour [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] une banque panafricaine, ?a l'est aussi pour le NFI. IDC a, lui, rappelé l'importance d'un marché à l'échelle du continent. Les émergences africaines ne doivent pas être nationales, mais imbriquées.
Pour y répondre, des praticiens de l' émergente, étaient réunis à Libreville du 14 [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] au 16 juin. Le hébergeait pour [url=http://ouruni.cn/home.php?mod=space&uid=183026][/url] la seconde année le New York Forum Africa [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] (). Lors de la table ronde [url=http://uudaxue.com/home.php?mod=space&uid=80660][/url] "What's Hot and What's not in African Investment Opportunity" ("ce [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] qui est dans le coup et ce qui ne l'est pas du tout dans les opportunités d'investissement en Afrique") avec, entre autres, Jacqueline Chimhanzi, stratège senior de l'Industrial Development Corporation (IDC) d', , ancien PDG de la banque panafricaine Ecobank, et , PDG du Fonds national d'investissement gabonais (NFI), la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] question a même été [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] élargie à celle des "quatre capitaux".
Au sein du capital tangible, quel équilibre établir entre les infrastructures – le capital – et les – le capital naturel ? Quant au capital intangible, faut-il "standardiser" son capital humain pour répondre aux besoins du marché mondial ou le pour le capital (qualité des institutions, cohésion sociale...) du pays ?
GOUVERNANCE ET TRANSPARENCE
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Les "quatre capitaux" sont certes inégalement développés selon les pays mais, à Libreville, l'Occident et son "modèle" étaient cantonnés aux discours des [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] intervenants venus d' et d'Amérique. Les dynamiques et les actions pratiques étaient, elles, bel et bien afro-africaines.
C?té capital humain, le modèle "exportateur" arrimé aux délocalisations occidentales semble dépassé. Le panel a rappelé l'exemple du , qui crée des universités pour des talents du continent. Le Gabon crée [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] sa propre Ecole des mines, etc.
Reste le [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] capital social, en particulier la gouvernance et la transparence. Pour les acteurs locaux, ce n'est plus l'Occident mais les émergents qui sont à la pointe de l'engagement [url=http://www.ziyouzone.com/bbs/home.php?mod=space&uid=133858][/url] constructif avec les acteurs économiques. La , qui classe le Gabon au 22e rang sur 52 pays classés en Afrique en matière de transparence, vient d'y un processus de dialogue avec les et le NFI.
Concernant le capital naturel, l'Afrique doit d'abord sur place ses ressources. Les prêts d'Ecobank, la mission industrielle d'IDC étaient en cohérence avec la stratégie du NFI. Ainsi de la prise de participation récente du [url=http://www.americatownmovie.com]air jordan pas cher[/url] fonds dans la société minière fran?aise Eramet : capital physique et capital naturel se rejoignent pour développer une source d'hydroélectricité compétitive face aux Chinois.