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Alors qu'à Toulouse, les syndicats ont dénombré 40 000 personnes, à Marseille, ils étaient déjà "plus de 20 000" selon les organisateurs (contre 5 000 en 2011), le cortège s'ébranlait en fin de matinée sous le soleil du Vieux Port en plein travaux. La banderole de tête proclamait "1er mai 2012 [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] Non à l'austérité. Progrès social. Paix Solidarité dans le monde entier".
Dans les différents cortèges, militants politiques se mêlent aux militants syndicaux et salariés, et les revendications politiques aux revendications sociales. "Casse-toi pov con", "casse-toi riche con" ou bien encore "Sarko gît", disent des pancartes à Marseille.
Des [url=http://www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/]www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/[/url] Fralib, LyondellBasell, et Arcelor Mittal à Marseille, aux Cofinoga et Ford à Bordeaux – où le cortège comptait environ 20 000 personnes –, des salariés d'entreprises en [url=http://www.corsodiesperanto.it/hoganit.html]www.corsodiesperanto.it/hoganit.html[/url] difficulté foulent également le pavé.
A Lyon, le défilé a démarré derrière une banderole pour le progrès [url=http://park15.wakwak.com/~haruka/cgi-bin/off/yybbs.cgi]www.teatrodeoro.com/hollister[/url] social. Derrière, les représentants des syndicats CGT, CFDT et [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] FSU plusieurs milliers de manifestants scandaient : "Ils veulent nous diviser. Unis, nombreux, organisés, on va gagner !"
A Grenoble, une syndicaliste a lancé à la foule : "C'est un 1er mai symbolique qui va remettre les pendules à l'heure!", et d'ajouter : "Ca suffit de traiter les gens d'assistés. Il y en a assez d'un président qui nous montre du doigt. Les vrais travailleurs, on est tous là".
"Le mot d'ordre de cette manifestation c'est non à l'austérité et oui à la revalorisation des salaires, des pensions, pour l'emploi et pour les services publiques. Nous [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] demandons aussi plus de justice sociale", [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] a déclaré [url=http://www.cnxiaochi8.com/home.php?mod=space&uid=631720][/url] Corinne Versini, secrétaire générale de la CGT en Gironde.
A Brest, une petite fille porte sur le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] dos un dessin avec cette question: "dis papa, ton travail est-ce que c'est un vrai travail?", alors qu'à Lyon un manifestant arbore un cercueil en carton appelé "le Sarkophage".
"Si les gens sont là c'est aussi contre Sarko, même si cela n'est pas le mot d'ordre officiel", a [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey sito ufficiale[/url] déclaré Gaétan, salarié chez Dassault à Mérignac, près de Bordeaux.
Ils étaient près de 10 000 manifestants à Nancy, au moins 5 000 à Strasbourg selon les organisateurs, 4 000 à Lille et autant [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]www.par5club.com/louboutin.php[/url] à Orléans (2 150 selon la police), entre 3 000 et 5 000 à Montpellier (contre 800 personnes en 2011), 3 000 à Toulon et 4 000 au Havre.
A Rouen, des salariés de Petroplus et Neo Sécurité ont ouvert la marche qui réunissait entre 6 000 manifestants selon les organisateurs (3 200 [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] selon la police).
REVENDICATIONS POLITIQUES ET SOCIALES
Défense de l'emploi, anti-austérité mais aussi anti-sarkozysme figurent parmi les thèmes développés mardi dans les quelque 290 rassemblements organisés par les syndicats sur l'ensemble du territoire et auxquels participent en nombre salariés et militants de gauche.
"Je suis là pour le [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] vrai travail après cinq [url=http://www.r30.co.jp/cgi-bin/aska.cgi/aska.cg&lt/b&gt&lt/span&gt&lt/%253C/aska.cgi%3C/a%3E]woolrich outlet Affaire WikiL[/url] années de provocations permanentes de Sarkozy à monter les catégories les unes contre [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] les autres", témoigne pour sa part Florian à Rouen.