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"On n'y croit plus. Tout le monde se dit qu'en la ne peut pas à de réels changements", estime Gabriel Bouessi, étudiant dans la capitale gabonaise. Selon le jeune homme, "la plupart des habitants n'ont pas la tête aux recours portés par les opposants". Ces derniers disent pourtant y .
"Comme en [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] témoignaient l'engouement pour la campagne et le nombre d'inscriptions sur les listes électorales, il y avait de grosses attentes [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] pour le scrutin", [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] rappelle Yves N'Da, [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] jeune Franco-Gabonais résidant en France et qui avait créé le site pour la campagne. Selon lui, beaucoup de Gabonais sont aujourd'hui "déboussolés" par le résultat de l'élection.
Pour André , l'un des principaux opposants à [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] Ali Bongo (après été lui-même ministre sous Omar Bongo), la reste mobilisée, et un recompte des voix aboutira "mathématiquement" à la défaite du candidat du . Joint par Le Monde.fr, il se dit d'autant plus confiant qu'il s'agit là de la première fois que l'opposition arrive à front commun. Jugeant "prématurées" les félicitations de , il dresse un parallèle entre l'élection au et celle de juin en . "Pourquoi deux poids deux [url=http://www.huashanedu.com/blog/thread-12848-1-1.html]nike air jordan pas cher Female Hair Loss Prevention - Health Article[/url] mesures ?" s'interroge-t-il. Cliquez pour écouter le son :
La reconnaissance des résultats du scrutin gabonais par a fait l'effet d'un coup de massue chez les sympathisants de l'opposition. Le président fran?ais a été le premier dirigeant occidental à féliciter Ali Bongo après les dirigeants lybien, camerounais et marocain. "Là, on a vu que [url=http://www.hqqlawyer.com/guestbook.asp]nike air j[/url] tout était plié", explique Yoni M., un habitant de Libreville joint par téléphone. "Vu comme les choses avancent, on [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ne voit pas comment le recours pourrait . Les personnes au font partie du clan Bongo." Il para?t difficile, selon lui, d' qu'un recompte pourrait à un résultat différent de celui validé le 4 septembre par la commission électorale.
"ON A VU QUE TOUT ?TAIT PLI?"
, l'espoir n'aura que peu duré. [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] Après quarante-deux ans de règne d', beaucoup de Gabonais pensaient que la première élection après la mort de l'ancien leader serait l'occasion d'une changement à la tête de l'Etat. Ils ont vécu l'annonce des résultats favorables à Bongo comme un choc. Après des émeutes à Libreville et à Port-Gentil, le calme semble revenu dans le pays.
Mardi, [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] les concurrents d'Omar Bongo lors du scrutin ont tenu une conférence de presse commune pour un recompte des voix. Ils ont aussi prévu d' à des "actions graduelles" pour l'élection d'Ali Ben [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] Bongo. "Cela peut être des marches, des manifestations ou une opération ville-morte, explique l'un d'eux, Bruno Ben Moubamba. C'est aussi à chaque Gabonais se s' et de ce qu'il veut pour son pays. Mais il faudra prudent, car les violences et la répression de Port-Gentil sont dans tous les esprits."
"Les rues sont [url=http://www.from-ireland.net/blog/i-found-a-cousin/comment-page-1/#comment-143474]Relief Solutions For Yeast Infections[/url] tranquilles, mais beaucoup [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] de frustration règne sur le [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] visage des gens", raconte au Monde.fr un habitant de Libreville joint par mail. Mercredi 9 septembre, dans les rues de la capitale, quelques policiers étaient stationnés aux principaux carrefours, mais la vie a repris son cours. Le campus [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] de l'université Omar Bongo a rouvert, et la plupart des commerces fonctionnent de nouveau.