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"Isadora Duncan, une sculpture vivante". Musée Bourdelle, 18, rue Antoine-Bourdelle, Paris 15e. [url=http://www.go4lube.com/tradexch/item/223692]hollister The New Age Of MLM - Get In Or Run For Y[/url] Jusqu'au 14 mars. Du mardi au dimanche, de 10 heures à 18 heures. Fermé lundi et jours fériés. Tél. [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] : 01-49-54-73-73. De 4 ? à 8 [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] ?.
Tous les deux s'inspirèrent d'ailleurs de la Grèce antique pour en une vision totalement différente. Duncan, toute dans la [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] souplesse et la course ; Nijinski dans les aplats et les saccades. Un pan de l'exposition rassemble une sélection de frises sculptées, de vases, de masques, qui soulignent les points communs entre les silhouettes et Duncan. De nombreuses photos signées [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] par Edward la saisissent entre les colonnes monumentales de l'Acropole en 1920.
Duncan démarre sa carrière en 1901 [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] dans les [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] salons parisiens avant de une première représentation en 1903 au Thé?tre Sarah-Bernhardt. Toutes les parisiennes seront investies par la danseuse en solo, choisissant des de Chopin, de Beethoven, de Schubert ou de Brahms pour sa gestuelle. Presque extatique parfois dans sa fa?on d' le torse en tendant les bras en l'air, elle impose une silhouette sensuelle et tourbillonnante.
Cette série, superbe dans sa fa?on vive de l'élan typique de Duncan, constitue l'une des séquences percutantes de l'exposition "Isadora Duncan, une sculpture vivante", programmée au Musée Bourdelle, à Paris. La singularité de [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] la danseuse aux pieds nus, comme elle [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] avait été baptisée, débarquée à Paris en 1900, y est éclairée par le contexte de [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] la Belle Epoque, les mouvements artistiques du moment, ses motifs d'inspiration (la ), ses revendications sexuelles...
Le dessinateur traduira les méandres de la spirale Duncan. Ses pastels sur papier aux couleurs rares - bleu, brun, ocre... - en [url=http://r.club.china.com/jsp/error/error.jsp?message=sessionTimeNot]barbour uk Small Business Search Engine Optimisat[/url] donnent une texture épaisse et fluide à la fois. Un paradoxe qui va bien à la danse grave et enjouée, abandonnée et dynamique de Duncan. Celle qui perdit ses deux enfants - ils se noyèrent dans la Seine en 1913 - conserva sa foi dans la danse comme art d'émancipation et la transmit à de nombreux élèves, ouvrant des écoles à Berlin, à Meudon puis à Moscou. Elle mourut accidentellement en 1927, étranglée par son écharpe lors d'une balade en décapotable. Reste une fièvre rageuse, un go?t de la beauté, beaucoup de courage. A Paris, les hauts-reliefs du Thé?tre des Champs-Elysées, sculptés par Bourdelle entre 1910 et 1913, la racontent pour toujours.
(1877- 1927). Réalisé dans un en URSS, il met en scène Duncan, tête en arrière et yeux [url=http://sohues.com/bbs/read.php?tid=6530672&ds=1]doudoune moncler SEO - Utilizing Search Engines Through SEO Manipulation[/url] au ciel, l'une de ses postures familières, en train de au milieu d'une ronde de spectateurs. Beaucoup d'hommes dans le public. Beaucoup d'hommes aussi, parmi les admirateurs de la danseuse. Du sculpteur au photographe , en passant par le poète [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] russe Essenine avec lequel elle se maria en 1922, la liste des artistes tombés sous le charme de la Californienne magnétique est longue. Le sculpteur (1861-1929) fut aussi saisi par sa vitalité : c'était en 1909, lors de la représentation d'Iphigénie en Tauride de Gluck, donné au Thé?tre de la Ga?té-Lyrique, à Paris. Dès le lendemain, Bourdelle en tirait cent cinquante dessins à l'encre.
La liberté chorégraphique de Duncan - sans corset sous ses robes flottantes, autant une révolution pour l'époque, gr?ce à la complicité du couturier [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] Poiret - se conjuguait avec une absence totale de préjugés et un appétit de vie féroce.
Isadora Duncan pr?nait "l'unité absolue de la forme et du fond" en dansant, unité qui se retrouvait dans la nature, les eaux, les végétaux. Elle avait inventé une danse délibérément lyrique dont l'ondulation était le ma?tre mot. Révolutionnant les codes de la danse classique, Duncan se retrouvait en première ligne auprès d'autres téméraires qui secouaient les tutus au même moment. Lo?e Fuller par exemple, , également danseuses solistes, mais encore Nijinski qui investit le Thé?tre du Ch?telet avec la troupe des Ballets russes en 1909, la même année que le triomphe de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] Duncan à la Ga?té.