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www.mansmanifesto.com La piste aux discordes

 
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PostPosted: Wed 13:33, 11 Sep 2013    Post subject: www.mansmanifesto.com La piste aux discordes

Gilbert Edelstein accuse le coup mais se révolte quand la concurrence évoque h?tivement son déclin. "Ils ont cru que le lion était mort. Ils l'ont réveillé." Le vieux fauve prépare la riposte. Afin de son activité, il vient notamment d' un parc d'attractions autour du monde du cirque, Pinderland, à Perthes-en-G?tinais. Au bout du compte, cette concurrence acharnée a obligé chacun à améliorer la qualité de ce qu'il propose à l'affiche. Les grands cirques renouvellent désormais leur spectacle chaque année. C'est une obligation. "Tout ce qui stagne croupit", résume Alexis Gruss. Alors chacun soigne les numéros et les encha?nements, recrute de vrais musiciens, investit des centaines de milliers d'euros [url=http://w.pengpengtou.com/]moncler sito ufficiale LUnion bancaire à lépreuv[/url] dans du nouveau matériel, améliore le confort des spectateurs. Le cirque Arlette Gruss fait même appel à un styliste et à un chorégraphe. En sortent de formidables machines à rêver, même si certains esthètes crient à une surenchère d'effets.
Le Monde.fr a le plaisir [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous
EN SIROTANT UN CAF? DANS SA VIEILLE ROULOTTE DE GITAN, posée porte de Champerret, à Paris, ès, 61 ans, s'agace de ce qu'il voit. A 17 ans, quand il était encore , il proposait un numéro de dompteur dont il s'est très vite lassé. Il en a eu marre "des costumes vulgaires, de la musique vulgaire, des femmes vulgaires, maquillées comme des filles des rues". Marre "des clowns qui ne faisaient personne". Marre aussi "de derrière une jolie contorsionniste russe un couple d'Allemands déguisés en Indiens qui montraient des chimpanzés". Les querelles entre Pinder, Gruss ou Bouglione le font . "Le problème numéro un du cirque, c'est le go?t", dit-il. L'ami de Jean Genet a renoncé sans regret à son nom. Il a cru aussi rompre avec le milieu de son enfance. Il avait tort. "On ne quitte pas le cirque comme on quitte le bureau." Après erré, il a monté en 1994 avec sa femme, Délia, son propre chapiteau, sous un nouveau nom. Il a tenté de , loin des grosses caisses, des coups de cymbales, l'?me tzigane du cirque. "J'ai fait na?vement ce que j'avais envie de , quelque chose d'immédiat, sans sophistication", explique-t-il.
Gruss, Bouglione, Amar, Zavatta, Pinder, Medrano : la route a forgé des dynasties d'êtres libres. Leur histoire remonte pour beaucoup au XIXe siècle. Pour les lignages, les mêmes prénoms courent d'une génération à l'autre : Sampion, Firmin, Alexis, Alexandre, Joseph, etc.
Un de ses principaux concurrents a posé ses pénates sur la place des Quinconces, à Bordeaux, en ce glacial début de février. Le cirque Arlette Gruss colonise l'espace, avec son vaste chapiteau, ses 55 semi-remorques et sa ménagerie. Après les caisses, un vaste hall d'accueil au de bois accueille le [url=http://www.jxjzgh.com/home.php?mod=space&uid=130923][/url] spectateur dans une odeur de cire. Puis c'est le chapiteau de 1 800 places numérotées. "Ce n'est pas parce qu'on va au cirque qu'on doit dans la gadoue", aimait Arlette Gruss.
"Tout le monde ment", avait prévenu un connaisseur. Il faut donc ces tricheries de saltimbanque, cet esprit bohème. "Etre ou ne pas être n'est pas une question, c'est une réponse", affirme joliment Alexis Gruss. Cela pourrait être la devise des gens du cirque qu'il faut à l'esprit dans cette entrée en scène. Il n'y a qu'une seule certitude établie, universelle, qu'un chiffre vérifiable, la taille de la piste : treize mètres. Une fichue contrainte technique ! "C'est un lieu fertile, un espace scénique infini par sa forme et par sa matière", dit pourtant . A 68 ans, il en sait quelque chose : tour à tour jongleur, clown et surtout écuyer, il crée [url=http://techoz.net/NoahClassifieds/item/51872]barbour uk outlet Taxe sur lacier le différend[/url] et recrée depuis toujours dans cette aire intangible. Le "cirque national Alexis Gruss" a posé une fois pour toutes son chapiteau dans le . C'est une superbe enceinte de 3 000 places, accueillante comme un thé?tre, aux bois vernis et patinés. Quand nous l'avons rencontré, il la remplissait tous les soirs de la cavalcade de ses soixante chevaux et des applaudissements du public. Même devenus sédentaires, l'écuyer et sa descendance vivent toujours dans des caravanes. L'une d'elles accueille le bureau d'Alexis, dans un décor magnifiquement suranné, tapissé d'une collection de 7 000 33-tours et 2 500 45-tours. Partout, des têtes de chevaux sculptées ou peintes rappellent la passion de cet homme. Le ma?tre des lieux sort du tiroir de son bureau un livre sur le cirque, qui date du milieu du xixe siècle. "Rien n'a changé", dit-il.
"POUR V?RIFIER QU'IL EST BIEN MORT", murmure , 42 ans. L'homme qui plaisante ainsi occupe un des fauteuils rouges du somptueux Cirque d'hiver, écrin de 1 600 places inauguré en 1852 et inscrit depuis aux Monuments historiques. Il en est le directeur. Il raconte sans dérobade la vie des siens, la légende et l'économie du cirque. Sur la piste, trois acrobates russes s'entra?nent en silence, multiplient les sauts périlleux. La salle, le spectacle, la coulisse : tout est réuni dans cet instant magique. La Bouglione a acheté le Cirque d'hiver en 1934, au nez et à la barbe des Amar. Un règlement de compte justement, pour une sombre histoire d'éléphants chapardés quelques années plus t?t. Ce qui n'empêchera pas les Bouglione de , dans les années 1970, l'enseigne Amar, en dép?t de bilan. Nomades sinti, se revendiquant ainsi, les Bouglione ont toujours investi dans la pierre, génération après génération. Un [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] placement contre nature mais une gestion avisée : ils sont aujourd'hui à la tête d'un important patrimoine dans Paris. Ils pourraient des revenus qu'ils en tirent et de la location du Cirque d'hiver.
Ce personnage charismatique et intransigeant est entré dans cet univers au hasard d'une rencontre avec Jean Richard, en 1967. Il devient l'agent commercial du cirque que l'acteur vient de , contribue dans l'ombre au succès de l'affaire. En 1972, il pousse son patron au rachat de la référence, Pinder, alors en difficulté. Gilbert Edelstein quitte Pinder-Jean-Richard en 1975. Il passe à la concurrence, obtient la concession pour les friandises et les produits dérivés du cirque Amar et du Cirque d'hiver. De ces années-là, ses ennemis lui ont gardé un surnom : "le marchand de cacahouètes". Mais l'homme sait les . Les grands cirques boivent le bouillon les uns après les autres, arrêtent des tournées trop co?teuses. Le marchand de cacahouètes, lui, gagne sa vie, bien, si bien qu'en 1983 il rachète le cirque Pinder-Jean-Richard, en faillite, hypothéquant ses biens personnels. Une magnifique revanche et le début de solides inimitiés : un jour qu'il prenait sa voiture, l'homme découvrit ainsi que la durite de frein avait été sectionnée.
La famille avait d'ailleurs arrêté le cirque en 1984 pour le métier de rentier. Mais la passion fut la plus forte. En 1999, la nouvelle génération Bouglione, conduite par Francesco, relan?ait les spectacles de piste. "Beaucoup de gens font du cirque pour de l'argent. Nous, nous faisons de l'argent pour du cirque." Ils le font par amour, presque par nécessité. "C'est consanguin", explique Francesco Bouglione. Les mauvaises langues ajoutent qu'il s'agit aussi de ne pas le monopole du nom à , qui a brutalement coupé les ponts et créé son propre chapiteau en 1992.
un aveu : rien n'est vrai, rien n'est faux. Il est question ici du cirque, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] un monde d'illusions. Sous vos yeux émerveillés, mesdames et messieurs, pénétrez dans un univers de trompe-l'oeil, de de lumières, d'épais maquillage. Il convient d' en tête cette volonté par-dessus tout d'éblouir. Sinon, on passe à c?té du sujet, on décrit un astre mort, comme une masse gazeuse, en oubliant la seule chose [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister outlet[/url] importante, l'éclat qu'il renvoie. Or, ici, il est bien question d'étoiles. De la piste aux étoiles.
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Son fils, , 51 ans, le directeur, est un enfant de la balle. Il a commencé chez Jean Richard, dont il était [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] le filleul. Il effectuait un numéro de trapèze avec sa première femme. Un soir, à Amiens, elle se [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister uk[/url] blesse gravement dans une chute. Il abandonne les feux de la rampe mais pas le cirque : "C'est ma fa?on de ." Aujourd'hui, il est remarié avec Linda Biasini, écuyère et descendante d'une dynastie italienne fondée en 1660. Trois enfants de Gilbert, Kevin, 24 ans, Laura, 12 ans, Eros, 6 ans, ont également repris le flambeau. Alexis, 2 ans, a encore un répit. Le gamin regarde pour l'heure la télévision dans la confortable caravane familiale, un cocon roulant. Gilbert Gruss assiste à tous les spectacles de la cabine des techniciens, mais c'est dans un modeste Algeco jouxtant le chapiteau que le directeur général passe le plus clair de son temps. C'est l'autre p?le du cirque. Gilbert Gruss y regarde les cassettes de démonstration que lui envoient les artistes ou leurs agents, réfléchit aux futurs spectacles. Il y pilote surtout la partie commerciale, avec une petite équipe. Le cirque Arlette Gruss a été créé en 1985. Les débuts sont difficiles. Pendant cinq ans, quinze personnes et cinq camions vont misérablement d'une ville à l'autre. Les travées sont presque vides. "Certains jours, nous ramassions péniblement 400 francs de recettes", explique Gilbert Gruss. Vient la bonne intuition. Plut?t que de et démonter le chapiteau chaque [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] jour, pourquoi ne pas plus longtemps au même endroit, à intervalles réguliers, en créant une sorte de rendez-vous, de fidélité ? La recette s'avère payante. Le cirque Arlette Gruss décuple son chiffre d'affaires (huit millions d'euros annoncés) et devient un poids lourd qui fait désormais jeu égal avec Pinder. La tournée se limite aujourd'hui à vingt-huit agglomérations, peu ou prou les mêmes d'une année sur l'autre.

Gilbert Edelstein va très vite refaire de Pinder une entreprise florissante, avec des méthodes commerciales agressives. Il va notamment à tour de bras des places gratuites. Le principe est simple : on vient au cirque en famille. Une place gratuite, c'est deux ou trois places vendues et l'assurance de son chapiteau. Il va également développer les produits dérivés et les partenariats. Le chiffre d'affaires explose. Pinder-Jean Richard redevient incontournable, même si son hégémonie est aujourd'hui contestée.

Ces bandes d'affranchis courent le pays chacun de leur c?té mais forment finalement un microcosme qui vit en huis clos. Depuis le temps que les familles se croisent sur les routes de France, se battent pour une place de village, se marchent sur les pieds lors des hivernages parisiens, il en est né des haines recuites, transmises en même temps que le talent. De ces rencontres forcées ont aussi surgi des histoires d'amour et force mariages. Quand Alexis Gruss est tombé amoureux de , les deux familles ont d? avec et une trêve le temps des noces. Mais ces bisbilles entre tribus ne sont rien à c?té des f?cheries familiales, qui se terminent parfois devant les tribunaux. Plus encore que les aristocrates, les circassiens savent que le nom est un patrimoine. On se bat pour le défendre, on se reproche mutuellement de le , on l'emporte avec soi quand on rompt les amarres.
Au total, un millier de cirques tournent ainsi en France, avec des fortunes diverses. Ce sont de splendides Barnum débarquant avec des norias de semi-remorques ou de petites troupes abonnées aux fêtes de village, tra?nant avec elles un lion efflanqué, faisant sto?quement leur spectacle devant une poignée de spectateurs. Il y a la noblesse du métier, sans cesse dans l'angoisse artistique, et les arnaqueurs, qui exploitent leurs employés et grugent le public. Pour ne pas d'impair, il faut en tête cette géographie de rancunes, d'excommunications mutuelles, de brouilles fraternelles dans une carte qui est tout sauf du . Il ne faut d'ailleurs pas longtemps avant que, dans une conversation avec l'un ou l'autre, se déclare une détestation, une petite phrase perfide. "Les vengeances arrivent parfois après deux cents ans", explique Gilbert Gruss, qui a repris la direction du cirque Arlette Gruss, après la mort de sa mère, une trapéziste et dompteuse de panthères, un sacré caractère surtout, décédée en 2006 au bout d'une vie hors du commun. Les clans se bagarrent, se poussent mutuellement à la faillite, mais se serrent la main quand ils se croisent, f?t-ce pour s' dans la seconde qui suit. Quand un adversaire est à terre, il y aura toujours une ?me charitable pour lui de sa troupe, le temps de se refaire et de se f?cher de nouveau.
Alors, on ne compte plus les branches Bouglione qui se vouent mutuellement aux gémonies et scient dans les arbres généalogiques les ramures devenues renégates. Il y a aujourd'hui deux cirques Gruss, Alexis Gruss et . Et il y a plus de trente enseignes Zavatta, dont deux seulement sont encore tenues par des descendants d'Achille, le plus célèbre des clowns. Un nom se vend ou se loue, jusqu'à 500 euros par jour. Des inconnus acceptent de ce gage de réputation. Medrano, Lanzac sont devenus propriété de tierces personnes. Parfois, on cultive l'ambigu?té : le cirque A. Fratellini ne porte pas l'initiale d'Annie mais d'Alain, un parent moins connu.
Voulant "s' des conventions", il a même renoncé, dans une ultime révolution, à la piste de treize mètres, pour une scène moins conventionnelle, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] plus intimiste, décorée de saris colorés. On colle à Romanès l'étiquette de "cirque poétique" ou de "nouveau cirque traditionnel" : les deux lui conviennent. "Je fais un autre public", dit-il. Il est entouré d'une trentaine de personnes, Gitans ou Tziganes venus de , , et même de France. Les débuts ont été difficiles mais aujourd'hui Romanès remplit avec constance sa tente de 500 places, plantée à c?té d'une école. Il affiche une philosophie aux antipodes des machines à spectacles, dévorées par la folie des grandeurs. "J'arrive à gr?ce au cirque et à un peu de gasoil dans les camions. ?a me va. Je ne serai jamais riche." Un silence. "Mais, au fond, pourquoi faudrait-il absolument le plus grand cirque du monde ?"
C'est ainsi chez ces gens d'exception, à la fois forts en gueule et poètes. Ils ne se pardonnent rien, décidément. Silvia Monfort, tout en défendant avec amour le cirque, s'aga?ait de cette barbarie et comparait le milieu aux Atrides, cette maison maudite des dieux où se perpétraient sans cesse incestes et parricides. Pourtant, lorsqu'un grand nom vient à son dernier de rideau, tous les autres viennent à l'enterrement.
Mais pour les cirques, la mère des batailles, c'est celle qu'ils se livrent afin de séduire les comités d'entreprise. RATP, , SNCF et autres achètent les billets par dizaines de milliers pour leurs employés, notamment à l'occasion des fêtes de fin d'année. Quand, entre novembre et janvier, les grands cirques se retrouvent presque tous ensemble à Paris, ces gros contingents remplissent les chapiteaux. Ils forment entre 30 % et 70 % des chiffres d'affaires. "En France, sans les CE, il n'y aurait plus de spectacle", assure Francesco Bouglione. Sa famille a réussi une opération magistrale, en débauchant récemment une partie de l'équipe commerciale de Pinder. Elle a changé d'écurie en emmenant plusieurs gros CE. "Les clients n'appartiennent à personne", assure Francesco Bouglione. Désormais, pendant les fêtes, les Bouglione investissent une nouvelle salle au Bourget (12 000 places) et une autre à Nanterre (3 000 places). La famille envisage même en 2013 de un cirque itinérant.

Dans le passé, ces querelles de voisinage, cette anarchie de gens sans entraves ont co?té bien des désagréments et des dép?ts de bilan. D'autant que s'y ajoutait une inaptitude pathologique à gérer. On était artistes, pas épiciers. Le talent, l'imagination suffisaient, quand l'économie tournait toute seule, que l'émission "La piste aux étoiles" (1954-1976) faisait une solide réclame. Mais, au tournant des années 1970 et 1980, quand la conjoncture a été moins favorable, quand le public s'est montré plus bégueule, ce fut la dégringolade, le nez dans la sciure. Amar, Bouglione, Pinder multipliaient les faillites, vendaient les camions et les lions. Dans ces années noires, un homme a redonné un second souffle au cirque : , 73 ans, l'actuel patron de Pinder. Il re?oit dans sa maison de Sucy-en-Brie, une caverne peuplée d'animaux empaillés, d'affiches anciennes, de maquettes et de sculptures de clowns. Dans le bureau, à c?té du fauteuil des visiteurs, veille, impressionnant même naturalisé, le dernier lion de . Gilbert Edelstein a toujours vécu entre quatre murs. Rien que pour ?a, il n'a jamais été pleinement accepté dans ce milieu, même si ses enfants, Frédéric et Sophie, sont devenus des artistes reconnus. Il ne cesse de son amour de la piste : "Quand on met un pied dans ce milieu, on ne peut plus en ." Peine perdue : "Pour eux, je suis toujours le petit juif qui vient la clientèle."
Le spectacle est précédé d'un intense battage. Fini le temps où les avec haut-parleur circulaient par les rues en annon?ant un "spectacle exceptionnel" ou "un moment merveilleux pour les petits et les grands". La promotion, c'est un budget de 800 000 euros. Elle se fait par les locaux ou des partenariats. L'équipe commerciale veille à ce que la concurrence ne vienne pas empiéter sur leur pré carré. La règle non écrite veut qu'une grande ville supporte la venue de deux ou trois cirques au maximum dans l'année. Celui d'Arlette Gruss exige donc des communes qu'aucune autre enseigne ne passe trois mois avant [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour factory shop[/url] sa venue. "Sinon, on se f?che." Tous se disputent ainsi les meilleures villes, tentent de créer des fiefs, courtisent les élus. "Il y a de la place pour tout le monde", assure Gilbert Gruss, qui aimerait bien qu'on ne vienne pas chez lui. [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] De fait, chaque année, quinze millions de personnes assistent à un spectacle de cirque. Un extraordinaire potentiel. Il n'empêche : on se bagarre pour cette manne et aucun coup bas n'est épargné. On s'accuse mutuellement d' [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] à vil prix les artistes, venus de , de ou de l'ex-URSS. On dénonce les conditions de vie ou les salaires des employés venus de ou d'. On se soup?onne de double comptabilité. Régulièrement, l'inspection du travail ou celle des fait une descente chez les uns ou chez les autres, sur dénonciation... Même chose pour la direction des vétérinaires.


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