Wedding Dresses

ekcjkg692t

A Bamako, dans la nuit de mercredi à jeudi, il était difficile de décrire la situation avec certitude. Sur les , le ministre des , Souma?la Boubèye Ma?ga, est donné comme "aux mains des mutins". Mais, joint par Le Monde, il répond au téléphone et assure en riant qu'il n'est le prisonnier de personne, [link widoczny dla zalogowanych] tout [link widoczny dla zalogowanych] en admettant que la situation est complexe.
Le Monde.fr a le [link widoczny dla zalogowanych] plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en
A Bamako, les mutins disaient d'abord . [link widoczny dla zalogowanych] Tout particulièrement contre la fa?on dont sont menées les opérations dans le nord du pays contre la rébellion, le mouvement national de libération [link widoczny dla zalogowanych] de l'Azawad (MNLA) et leurs échecs récents, faute de moyens, et de munitions.
Une confrontation est-elle en préparation entre forces loyalistes et soldats protestataires ? Les mutins, dont le nombre s'est multiplié au fil de heures, rejoints [link widoczny dla zalogowanych] par des éléments de la , vont-ils les forces loyalistes ? A une dizaine de kilomètres de la télévision (aux mains des mutins), la colline de Koulouba, au sommet de laquelle se trouve la présidence malienne, est défendue [link widoczny dla zalogowanych] par les "bérets rouges", les parachutistes qui protègent le président Amadou Toumani Touré (ATT), issu de ce corps. Les loyalistes "se préparaient à cette éventualité depuis quelques temps" affirme une source bien informée, et sont "sortis de leurs camps pour défendre le pouvoir". Bref, pour l'heure, le sang n'a pas coulé, le ne semble pas , mais dans les [link widoczny dla zalogowanych] combinaisons complexes qui accompagnent la fin de mandat d'ATT, chacun s'attend à des surprises.
Mercredi matin, c'est dans le camp [link widoczny dla zalogowanych] de Kati, à une quinzaine de kilomètres de la capitale, que l'agitation est devenue violente. Des jeunes soldats disaient des fleurs sur les tombes de leurs camarades morts au combat, et réclamaient plus d'armes pour la guerre contre la rébellion. Le ministre de la défense, venu pour les , a été obligé de sous des volées de pierre, alors que les premiers coups de feu étaient tirés en l'air par ses gardes du corps pour se dégager, précédant ceux des militaires. Puis, comme par enchantement, les jeunes soldats mécontents se positionnent à Bamako, se dirigent vers la télévision (l'Office national de radio Télévision, ORTM), et s'en emparent. Les tirs reprennent, cessent.
Mais depuis le 17 janvier, le Mali est confronté à une rébellion constituées essentiellement de forces touareg, fortement ée gr?ce au matériel emportés par des combattants rentrés de . Depuis l'éclatement de cette rébellion, des désertions ont eu lieu dans l'armée. [link widoczny dla zalogowanych] Dans certains endroits du Mali, ce sont des touareg loyalistes qui se battent contre des touareg rebelles. Et ceci, alors que le président Amadou Toumani Touré termine son second et dernier mandat. Le Mali devrait se aux urnes pour le premier tour d'une élection présidentielle le 29 avril. A l'approche de cette date, le chef de l'Etat a insisté sur sa détermination à l'élection co?te que co?te, alors que [link widoczny dla zalogowanych] l'agitation gagnait l'armée.

LES FORCES LOYALISTES SE PR?PARAIENT ? UNE CONFRONTATION
Avant les tirs, il y a donc explosion de mécontentement, celui d'une régulière confrontée à des problèmes d'approvisionnements qui ont mené à la il y a quelques semaines, après d'autres défaites. Ce mécontentement s'est intensifié récemment au point que la crainte d'un coup d'Etat était mentionnée par de nombreux observateurs au cours des dernières semaines. Il y aurait, selon certaines sources, scission entre des officiers supérieurs proches du , qui ont pu s' depuis plusieurs années, parfois en trempant dans des trafics ou en évitant les combats avec les "katibas" d' au Maghreb islamique (), et des éléments plus jeunes moins gradés.
S'il ne s'agit pas d'une tentative de le au , cela s'en rapproche tout de même un peu. D'une dispute lors de la visite du ministre de la dans un camp à la périphérie de la capitale, comment en est-on arrivé à une mutinerie, mercredi 21 mars, avec la télévision aux mains des insurgés, et des incertitudes sur les possibilités de de cette situation alors qu'une partie de Bamako se terre chez soi ? Des conversations téléphoniques dans la soirée avec Bamako montrent que des tirs continuent dans certains [link widoczny dla zalogowanych] quartiers de la capitale malienne. A ce stade, il ne s'agit que de tirs en l'air, et pas de combats, mais la situation est plus grave qu'une simple explosion de mécontentement.

相关的主题文章:

[link widoczny dla zalogowanych]

[link widoczny dla zalogowanych]

[link widoczny dla zalogowanych]