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Téhéran estime qu'il est de son droit de poursuivre son programme nucléaire. Il [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] a beau jeu pour le faire d'arguer que les grandes puissances occidentales ont fermé les yeux sur le fait qu'Isra?l possédait l'arme atomique et n'avait pas signé, lui, le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Pour Washington et ses alliés, Téhéran représente une menace réelle pour l'équilibre géopolitique du Moyen-Orient. Les ?tats-Unis l'accusent d'aide au terrorisme islamiste, de déstabiliser l'Irak et, surtout, d'être le principal soutien du Hezbollah, et la presse américaine confirme l'existence d'une tentation à recourir à une intervention militaire, unilatérale si besoin.
Prenant cette menace au sérieux, l'Iran se prépare. La semaine dernière, des manoeuvres militaires ont eu lieu dans tout le pays. Et Isra?l, très au fait des préparatifs de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] guerre américains à l'endroit de l'Iran, a déclaré par la voix de son ministre des Retraités, Rapha?l Eytan, qu'il doit se préparer à une attaque de missiles balistiques iraniens. Autrement dit : Isra?l doit être prêt à riposter, voire à prendre les devants et déclencher une attaque préventive, une mesure envisagée déjà par Ariel Sharon avant son accident [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] cérébral.
Moyen-Orient . Sans indiquer s'il suspendait ses activités d'enrichissement de l'uranium, l'Iran se dit prêt à négocier sur le nucléaire. Washington, de son c?té, s'impatiente et menace.

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Cette ? révélation ? d'opposants rappelle à s'y méprendre celles de l'opposant irakien Ahmed Chalabi affirmant que le régime de Saddam possédait des armes de destruction massive. Bien que l'Iran ait démenti ces allégations, déclarant que le but de son activité militaire était destiné à lui procurer une source d'énergie alternative, il n'avait pas convaincu. Pour la simple raison, indiquaient les Occidentaux, que ce pays est doté de réserves pétrolières et gazières considérables pouvant lui permettre de se passer de l'énergie nucléaire.

Une réponse ambigU?

Il faut dire que la question du nucléaire iranien remonte à 1995 quand, avec l'aide de la Russie, l'Iran avait décidé de lancer un programme de production électrique à partir de ses centrales nucléaires. En dépit des relations tendues avec Washington, ce sujet n'avait jamais préoccupé outre mesure la Maison-Blanche quand Bill Clinton était aux affaires. L'Iran n'est finalement revenu au centre des préoccupations américaines que depuis 2001, quand George Bush l'a désigné comme un pays de ? l'axe du mal ?. Et ce sont surtout les affirmations d'un groupe d'opposition iranien indiquant que le pays s'apprêtait à enrichir de l'uranium à partir de ses installations de Natanz, au sud de Téhéran, qui [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister france[/url] ont poussé Washington à suspecter le régime des mollahs de chercher à se doter de l'arme atomique.

Téhéran n'a pas attendu l'expiration de ce délai pour donner [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] hier sa réponse aux ambassadeurs du G5+1. Sans indiquer cependant s'il acceptait de suspendre son programme d'enrichissement d'uranium, le [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien, Ali Larijani, a invité le G5+1 [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] à négocier son offre. La veille, plusieurs responsables iraniens, dont le guide de la révolution Ali Khamene?, avaient laissé entendre que l'Iran [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] rejetterait cette offre [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] qui, selon Mohammad Sa?di, vice-président de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, ? n'a plus lieu d'être aujourd'hui parce que la République islamique ma?trise cette technologie ?. Si la réponse iranienne n'est pas satisfaisante, a menacé de son c?té l'ambassadeur des ?tats-Unis à l'ONU John Bolton, son pays introduira une résolution pour imposer des sanctions à l'Iran.
Tout pouvait laisser supposer que l'Iran avait, de fait, rejeté l'offre émise le 6 juin par le Conseil de sécurité de l'ONU et l'Allemagne, dit ? Groupe 5 plus 1 ? (G5+1), comprenant des incitations s'il acceptait de suspendre ses activités d'enrichissement d'uranium. Cette offre, qui ne comportait pas de menace de sanctions, visait à le convaincre des bénéfices d'une suspension en échange de mesures de coopération économique et nucléaire à des fins civiles. Pour ce faire, le 31 juillet une résolution du Conseil de sécurité accordait à l'Iran un délai d'un mois.
Pour l'heure, les projecteurs seront braqués en direction du Conseil de sécurité de l'ONU. La question est de savoir quelle position adopteront la Russie et la Chine, [url=http://www.materialistanyces.com]louboutin[/url] qui avaient empêché [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] en mai dernier l'adoption du projet de résolution franco-britannique soutenu par Washington, se référant au chapitre VII de la charte de l'ONU autorisant des sanctions diplomatiques et économiques. Ces deux pays se sont montrés depuis lors plut?t conciliants avec Téhéran.

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